VADIM KIRILLOV
Sculpture / Biographie / Articles / Presse
Vadim aime citer une des maximes préférées de Kerbel :
«si vous ne pouvez pas vous consacrer entièrement à la sculpture, arrêtez ! ».

«La Sculpture traditionnelle est une composante de l’architecture. Nous la percevons comme un volume et une forme ui a sa propre existance dans l'espace», dit Vadim. «J'ai essayé de faire l'espace, composé l'air qui entoure, une composante active de mes travaux. L'idée est fondée sur le principe d'une grille classique. L’oeil humain peut percevoir les bars formant cette grille et vider l'espace entre chacune d’elle. Dans les deux cas nous voyons l’unité et la globalité. Et c'est tout naturellement que l'espace devient actif et supporte la même charge visuelle que le volume».

La plastique du sculpteur avec ses fins détails de bronze révèllent un intérêt particuler. Les travaux de Kirillov, inhabituels par leur placement, leur trassage et leur originalité absolue se fait remarquer par son élégance décorative de chacun et de tous les détials qui les composent. La compositions des images est construite l’interactivité entre l'éternel et le détail, sur la netteté et l'acuité des étast émotionnels.

Pourquoi l'artiste a-t-il choisi de faire de de son style sculptural une alliance entre l’art graphique et l’art picturale ?
Quelle est la base de son travail de ses recherches ? Sur quelles traditions s’appuit-il ?

Vadim ne fait pas de secret du fait que les arts européens et, avant tout, l'art Gothique étaient sa source d’inspiration.

«L'art Gothique était le premier à canoniser la lumière dans les travaux d'architecture, en associant la peinture et la sculpture” dit-il. C’est pas exemple ce qui a donné naissance l'art de vetrecs, c'est-à-dire les compositions ornementales de vitraux. Après avoir analysé tout cela a , il a essayé de recréer dans ses travaux, un équilibre entre l’espace et la forme. Ceci eut comme premier résultat ses premières sculpture «King’s hanter», «The Winner Saint George» et «Eve». Le débat «est ouvert», explique Vadim.

«L’étapes suivante était de trouver mon propre language plastique, ma propre technique, qui pourrait transmettre autant que possible l'essence de tel ou tel travail», continue-t-il. L'artiste a utilisé une nouvelle technique dans ses derniers travaux «e Matador", «le Rêveur" et «Don Juan» . Ici il montra et décrit le processus lui-même : «je fais beaucoup de dessins préparatoires à l’ échelle réelle. Puis je fais un moule «patron». Enfin je jette des couches de cire et découpe le sculpture en fragments sculpture ur la base des ses modèleses. J’obtiens deux parties séparées d’une couche planne. Tout cela rappelle tant de la technique de d’origami ainsi que des spectacles de galanty Oriental. L’étape suivente est la fonte du bronze et son assemblage».

De cette façon de faire émerge un équilibre à couper le souffle sur une «crosse» avec des envolées entre immobilité et déplacement, entre repos et mouvement. Pour Vadim Kirillov tout e nouvelle oeuvre est une assertion de sa propre nature et tempérament. Sa particularité artistique est-elle adulte, Non ?
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